Marathon de Salon (13nov / 42km)


Bonjour les TAC'onautes!

 

Bon, je vous préviens: je vais (essayer de) faire court.. sachant qu'une image vaut mille mots [et des photos y'en a déjà pas mal..] et que je préfère laisser la place aux (jolis) compte-rendus des néo-marathoniens Daniel, Manu, Serge et (un peu) Christophe..

 

Je précise quand même avant qu'il est question évidemment du tant attendu (/craint..?) Marathon de Salon, édition unique, qui a eu lieu ce dimanche. Les mythiques 42km et 195mètres étaient au programme, en passant par la base de l'Armée de l'air, à déguster en solo, en duo ou en quatuor.

 

En solo, il y avait 8 fadas (après hélas le renoncement d'Amélie) au départ: Agnès, Annick, Stéphanie, Christophe, Daniel, Manu, Serge et moi-même. En duo, on retrouvait Christine et Magali, mais aussi Sandrine (avec Aurélie) et Cédric (avec sa cousine, victorieuse de la course de MonTrésor). En quatuor enfin, il y avait l'équipe des Tac'ettes, avec la Queen Geneviève, mais aussi Cathy, Sonia, et Fanny pour le dernier relais.

 

C'était un grand jour pour la ville de Salon, mais aussi pour une partie de la manade qui s'attaquait là à son premier marathon, expérience assez unique... les concernés vous le confirmeront.. D'ailleurs, je vais leur laisser la 'parole', donc je vous renvoie simplement vers la rubrique 'Résultats' pour voir nos temps (:tous excellents, avec zéro abandon et 100% de sourires (certes parfois un peu douloureux..) à l'arrivée).

 

Je finis aussi avec mon propre petit récap' personnel de cette course (des marathons on n'en fait pas tous les jours..): J'ai passé une très belle journée.. qui était, oh hasard, mon anniversaire (merci pour la chanson au resto.. je ne vous en veux pas trop..). La course s'est passée comme prévue/espérée: je voulais partir 'sagement', en profitant plutôt que souffrant, avec 4min50/km (12,4 km/h) sur les 25 premiers kilomètres. Ce plan a été respecté à la seconde quasiment (bon, ok, on allait un peu plus vite en fait..), et j'ai été content de partager ça avec Sergio (qui était à la base parti pour du 4min55/km, visant 3h30). Nous avons discuté et ouvert les yeux pour apprécier le moment et les encouragements des supporters. Au 25ème, après 2h00 pile de course super agréable, j'ai accéléré et suis passé à du 4min30/km (13,3km/h). Fallait donc serrer les dents sur les 17 derniers kilomètres, et c'est passé, malgré bien sûr le durcissement des gambettes après tous ces kilomètres bitumés. Arrivée finale, devant une belle foule, en 3h17. Je veux dire un grand merci à 'nos' super supporters, qui ont fait le déplacement, dont notamment Eric, Alex, Manu, Seb' & Erwan, Christophe D., et évidemment 'ma' Mlle Tortue.

 

Allez, je passe le micro.. euh.. stylo à Christophe, puis Manu, puis Daniel, puis Sergio :

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Félicitation à tous les TACs d'avoir terminé cette épreuve, de l'ambiance d'après-course, une pensée à Amélie blessée, qui n'a pas pu prendre le départ et joyeux anniversaire..

Christophe

 

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Quelle expérience que de faire un marathon...

 

Un départ derrière la cordelette, je cherche mon meneur d'allure mais rien en vue... je n'ai jamais été autant en tête... malheureusement cela n'a pas duré...

Calé trop vite sur mon allure semi, je me fis néanmoins rattraper par Daniel vers le sixième kilomètre. Nous continuons ensemble jusqu'au vingtième kilo. Nous faisons la rencontre de Jeanne d'Arc et d'un tirailleur sénégalais....

 

Arrivé au vingtième, sentant mon rythme trop élevé et l'arrivée d'un profil montant, je me calme, de toute façon, je n'avais plus le choix... Un rythme plus posé entre le vingtième et le trentième pour rentrer dans le dur au trentième...

 

Je me fais doubler par mon meneur d'allure au trente deuxième, que je ne reverrai plus...

 

A compter du trentième, les douleurs, les doutes, une allure d'escargot, une montre affichant une allure jusqu'à 8 minutes au kilo' dans la traversée de la piste, c'est la traversée du désert. Heureusement, j'arrive encore à doubler certains coureurs agonisants.

 

Je m'accroche et, arrivé au quarantième, je mets mon cerveau sur OFF, je relance, enfin j'essaye, et fini par sprinter au quarante deuxième. 

 

Je passe la ligne d'arrivée avec joie et fierté mais à la limite du malaise.

 

Mon temps KMS est de 4 heures 13 minutes 39 secondes. QUELLE COURSE...

 

Manu 

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Comment dire mes ressentis..? Il y a beaucoup de choses qui se mélangent et s'additionnent.

Autant commencer par le début.

 

Once upon a time... non je rigole. Donc le début, c'était juste avant le marathon de Barcelone. Février certainement. J'ai pris à ce moment-là la décision de faire un marathon sans trop comprendre pourquoi. (Certainement une discussion avec Lalia).

Et justement celui de Salon-de-Provence se profilait. 

Ni une ni deux, me voilà inscrit, pour moi la date avait bien sûr aussi quelque chose de symbolique.. Passer dans la base aussi. S'en est suivi un entraînement plus ou moins rigoureux jusqu'à la fin du mois d'août où le plan d'entraînement a vraiment pris son importance. 12 semaines pendant lesquelles j'ai couru entre 30 et 50 kilomètres par semaine. Avec du fond, de la vitesse, et du plaisir aussi. Une perte de poids limitée ..essentiellement liée à la pratique de la course car j'ai bien sûr continué à manger comme d'habitude et à faire des apéros.

Puis une semaine avant.. arrêt complet de l'alcool. Finalement c'est ça le plus dur, lol.

Récupération des dossards la veille, nous étions déjà dans l'ambiance.

 

Et puis nous voilà le jour J, enfin le jour M.

Au petit matin réveil à 5h... impossible de dormir plus.. je me fais un plat de pâtes spaghettis avec de l'huile et du sel.. je bois un demi-litre d'eau et c'est le départ pour le jeu de boules. Oui, je vous ai passé les détails de la préparation: du massage des genoux à celui des mollets, de la mise en place des chaussettes.. Du dossard à placer sur le tee-shirt avec les épingles à nourrice, mais je me suis planté de maillot.. ce n'était pas celui que je voulais.. Il a fallu déplanter les épingles à nourrice et replanter le dossard sur un autre maillot.. enfin plein de petites maniaqueries..

Enfin je suis fin prêt. Nous étions un certain nombre à prendre le depart: 16, dont 8 sur le solo avec quelques néo-marathoniens, dont notre ami Manu.

 

Un dernier petit pissou et c'est le départ. 9h tapantes, envol de ballons bleu blanc rouge.. minute de silence ..fumigènes de départ et l'ambiance  de commémoration du 13 novembre est là aussi bien sûr.

Au départ, Annick marathonienne de Barcelone, est avec moi. Devant nous, la flamme des 4h. Objectif que je m'étais fixé. La mise en mouvement de l'ensemble des coureurs est lente et la flamme s'en va bien loin devant. J'entends à droite "Allez Papa.. allez Daniel", ma fille Hélèna et Franz sont là dans la foule.. :-)

 

Nous sommes environ 1500 à prendre le départ en solo, un quart d'heure après les duos partiront et un quart d'heure après encore, ce sera au tour des équipes de 4. Assez rapidement j'essaie de me rapprocher du meneur d'allure avec la flamme des 4h, mais c'est assez compliqué avec tout ce monde. En tentant de me rapprocher de la flamme, je perds petit à petit Annick ce que je regrette un moment, mais je me dis que chacun doit faire sa course. Je me retrouve avec une femme qui me dit que c'est la première fois qu'elle fait un marathon... Je lui dis moi aussi. Elle  trouve que ça va un peu vite.. En fait c'est une spécialiste des Ultra-Trails de 120 kilomètres dans la montagne, oups.. Je la distance et continue à essayer de suivre la flamme, au cinquième je vais la rattraper et dépasser et par la même occasion retrouver Manu. Nous allons faire un bout de chemin ensemble. Je l'entraîne un peu avec moi et il suit allègrement l'allure... A ce moment-là, on retrouve encore une fois ma fille sur le parcours, un peu d'euphorie, nous accélérons encore un peu. On retourne sur Salon, Avenue Kennedy, Marie-Morgane est à son balcon et nous encourage: 'Allez les Tac!'  La montée du Cours Gimon ne nous fait pas peur, on accélère encore un peu, on est bien.. Les cinémas, puis rentrons dans la base, tout se passe bien.. Dans la base je repère une des inscriptions sur un monument "Tant que tu n'as pas tout donné, tu n'as rien donné". C'est très approprié comme maxime et elle prendre tout son sens pour moi dans peu de temps...

 

Toujours avec Manu, on escorte une certaine Caroline sur toute la longueur de la piste; nous avons la même allure, vraiment très sympathique. Elle est plutôt plutôt jeune et court d'habitude à 12.8km/h de moyenne..!

Elle nous lâchera lors d'un ravito à la sortie de la base, au 16ème km je crois. 3 à 4 km plus tard, je perds Manu, qui, raisonnable lui.., ralentit un peu son allure...

 

Ceci étant, je me sens bien, je continue.. J'arrive à la montée de Lançon de Provence, là où Eric nous attend avec son appareil photo et tout sourire. Ca me fait plaisir de le voir. Puis, juste avant le ravito, j'aperçois les filles: Sonia, Sandrine.. sur la droite, et tout de suite après la mienne de fille ainsi que son copain sur la gauche. Je vais taper dans la main de Franz qui m'encourage. Ravito. Je fais le plein d'eau et c'est reparti. Partant de là, on va faire 5 à 6 kilomètres dans la campagne aux alentours de Lançon, les routes sont assez défoncées, ce n'est pas très agréable à courir. Je me souviens d'avoir dépassé le 28ème km en me disant 'Tiens, on est au deux tiers' . J'étais à 2h30 de course, puis la barre des 30, que j'appréhendais, passe sans souci.

Je ne bois pas assez, je pense que je suis dans l'euphorie... Au 33ème km, une pensée pour Carine: merci Carine. Heureusement que j'avais une pensée douce vers toi car c'est le début des amorces de crampes pour moi..

 

À partir de ce moment-là, je vais gérer les crampes jusqu'à la fin.. une horreur! Je ne veux pas lâcher.. je finirai en marchant s'il faut, mais je finirai. Mes pensées vont là, vers celle qui se bat contre la maladie depuis des mois, Lalia, et ça m'aide à repartir..

 

Finalement, après les 2 minutes de récup' sur le dernier ravito où se trouve le Samu prêt à intervenir si je leur fais signe, je retrouve des forces et arrive à décontracter suffisamment mes muscles pour relancer une petite foulée et parviens à rejoindre Salon en courant avec une allure réduite de moitié c'est sûr. Une dernière alerte à la fin de la montée à  la sortie de la base avec le virage à droite me fait crier de douleur. La crampe s'est calée à l'arrière de ma cuisse droite, le coureur devant, aussi en prise à des douleurs, s'arrête et me demande si j'ai besoin d'aide, je m'entend lui dire "Ca va aller.. merci ".. Je fais quelques pas pour retrouver un peu de fluidité, je bois, je souffle à fond.. Encore une pensée pour Lalia et les souffrances qu'elle endure, une pour ma fille qui doit être à l'arrivée et je repars...

 

Le public amassė autour de l'arrivée dans le centre de Salon me donne un surplus d'énergie et, après avoir croisé Christine 200 mètres avant l'arrivée, je finis en 4h 9minutes et 14secondes. Stéphane est à l'arrivée et me félicite.. merci Stéphane. Tout de suite après, ma fille veut me prendre dans ses bras. Je respire un peu avant.. j'ai beaucoup de mal à respirer.. et je l'embrasse finalement avec beaucoup d'émotion. Merci d'avoir été là sur tout le parcours.

 

Ce fut un moment exceptionnel, point d'orgue d'une longue préparation.. Merci à Annick pour les sortie du samedi matin et tes encouragements.

Merci à tous pour votre soutien, plus particulièrement à nos coachs et à ceux qui m'ont poussé à m'inscrire.

 

Daniel

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Le sentiment premier, c’est d’avoir bouclé ce premier (et dernier? on verra) marathon. J’ai beau savoir que pratiquement tous les concurrents qui s’engagent sur un marathon le terminent, même en rampant, cela reste une fierté d’être aller au bout. Cette épreuve est mythique et je comprends mieux pourquoi, sa réputation n’est pas galvaudée. On a beau se préparer sérieusement, j’ai souffert comme jamais dans les derniers kilomètres.

A partir du 30è, les kilomètres comptent double, au-delà du 35è triple. Et les 40è et 41è km m’ont paru aussi longs qu’un concert de Didier Barbelivien..

 

Il faut dire que la première partie de la course est passée très vite. Rapidement lâché par Christophe, parti au sprint, j’ai été rattrapé dans le 1er kilo par Stéphane, derrière moi sur la ligne de départ. Après avoir échangé sur nos «stratégies» de course (il était parti sur une base de 4’50s au kilo, moi sur 4’55s), j’ai décidé de rester avec lui. Nous avons en fait couru plutôt sur une allure de 4’45’’. Nous avons ainsi couru de concert durant 25 bornes. On a beaucoup papoté, c’était très agréable, on était bien, à l’aise, le temps est passé très vite. Au 25ème kilo, Stéphane a accéléré, comme prévu, on s’est encouragés, j’ai continué sur un bon rythme pendant quelques kilomètres. J’ai vu Steph pendant un bon moment, il rattrapait des coureurs, et moi aussi, j’ai commencé à en doubler quelques uns et ce jusqu’à l’arrivée.

 

Je buvais à tous les ravitos et également entre (j’avais une bouteille). J’ai fini ma bouteille vers le 28ème kilo. J’avais encore soif, le ravito suivant n’arrivait pas. Ouf, enfin un ravito, on est après le kilomètre 30. Je m’arrête (la seule fois de la course), je remplis ma bouteille, je bois coup sur coup 2 verres. Tout ça pour en arriver à la conclusion suivante: je crois que j’étais vraiment déshydraté et que ça explique en partie pourquoi mes jambes étaient si dures sur la fin (c’est le temps des excuses qui commence…). J’ai déjà ressenti ça, sur mon premier semi, il y a 3 ans, sous la canicule. Je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver en novembre.

 

Et puis il y a le 2ème passage sur la base, les jambes tapent dures sur la piste, les lignes droites sont interminables, il n’y a pas personne autour de nous, la largeur de la piste donne l’impression de ne pas avancer. Je continue à chronométrer mes kilomètres. Je souffre, mais au courage je me bats pour ne jamais être beaucoup en-deçà des 5min au kilo : 5min05s, 5min10s parfois un peu moins. Je perds un peu de temps sur mon objectif de courir sous les 3h30 minutes, mais finalement pas tant que ça et je sais que j’ai un bon matelas de sécurité de minutes d’avance. Je me fais doubler par les relayeurs (salopards!) mais jamais par des solos, ça m’aide à tenir, je continue à doubler malgré toutes les souffrances endurées. J’ai sincèrement envie d’encourager les coureurs que je double mais je ressens une gêne, celle de passer pour un frimeur alors je préfère m’abstenir.

 

J’avance comme un robot, je ne me préoccupe que de mon chrono (c’est obsessionnel), je rentre dans un état second, je n’ai plus de lucidité: au kilomètre 36, je pensais être au 37 ou au 38. Au 39, je croyais être au 40. Et puis, enfin, on sort de la base, une ligne droite et puis il y a ce virage à droite en montée. Est-ce que je vais la passer ? Oui, c’est les 2 coureurs devant qui s’arrêtent, une fille d’abord puis un gars ensuite, criant 'non!' en se tenant la cuisse, sans doute une crampe. Je pense à la blessure, j’ai par moments de mauvaises sensations et j’ai vraiment peur qu’une tendinite 'me saute dessus' sans crier gare. Les petites montées s’enchaînent, on remonte les allées de Craponne. Les quelques mètres de dénivelé s’élèvent comme autant d’Himalaya. Le kilomètre 41 est pile à la fin de ce petit faux-plat montant. Là je ressens un début de crampe dans la cuisse gauche. Je m’écrie (intérieurement mais très fort) «Non pas maintenant!», mais le parcours est devenu mon ami, en légère descente, j’arrive à gérer les quelques débuts de crampe, qui finalement restent bien sages jusqu’à la ligne, que je franchis les bras levés (quel manque d’humilité) avec le speaker qui annonce mon nom. 3h25min30s: l’objectif est atteint, j’ai tenu sous les 3h30. C’est fini, putain, que c’est bon.

 

Serge

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Commentaires: 6
  • #1

    seb g. (lundi, 14 novembre 2016 23:42)

    Houlala ! J ai eu des crampes rien qu'en lisant vos superbes récits.... J'ai été obligé de me ravitailler entre deux recap ! Bravo, bravo a tous les marathoniens, bravo au relayeurs j attends avec impatience vos comptes rendus !
    Seb g.

  • #2

    Hervé (mardi, 15 novembre 2016 14:43)

    bravo à tous les marathoniens ! Les recaps se lisent avec plaisir .On a l impression de vivre cette aventure avec vous .avec Camille on aurai aimé partager cette aventure (pour moi comme supporter évidemment ).vous avez un mental de gagnant. BRAVO!!!!

  • #3

    Geneviève (mardi, 15 novembre 2016 21:43)

    Superbe journée, bravo à tous et félicitations aux nouveaux baptisés marathoniens, une très belle expérience, je parle en connaisseuse de cette course mythique que j'ai faite deux fois il y a ....................
    Merci à mes coéquipières qui ont passé du temps à attendre leur relais.
    Merci pour ces photos et vos compte rendus
    Les absents vont regretter.

  • #4

    christine (mercredi, 16 novembre 2016 19:28)

    En plus d'être "marathonien" vous être des Poètes..... Quel plaisir de lire ces comptes rendus chargés d'une grande émotion. Vous pouvez être fier(e) oui très fier(e) de votre performance de ce 13 novembre 2016 dans la cité de Nostradamus. Je ne pourrai en écrire autant mais j'ai aussi partagé un très grand moment avec ma Binome Magali sur ce Marathon en relais. Merci à toi Mag. J'ai fait le max pour ne pas te laisser te refroidir trop longtemps.....Merci aux autres relayeurs de vos encouragement, merci aux photographes et aux autres membres du club. Bravooooo à vous tous.

  • #5

    LeMarathonienBlond (jeudi, 17 novembre 2016 17:34)

    Bravo aux néo-rédacteurs (et donc néo-marathoniens) pour ces compte-rendus marathonesques.. C'était génial à lire, tout comme c'était génial de passer cette journée ensemble, sur le bitume, puis autour d'une table. Félicitations aux héro(ïne)s du jour: celles qui ont fait un quart de Marathon, ou une moitié, comme ceux qui ont fait la totalité de ces 42195mètres, en particulier ceux pour qui c'était la 1ère (mais pas dernière..?) fois.
    Vive les TAC'os et vivement les prochains défis..

  • #6

    Fred (vendredi, 18 novembre 2016 13:50)

    Encore un grand bravo à tous les coureurs et supporters !!!
    C’était un super moment de partage.
    Merci aussi pour ces recaps c'est vraiment trop bien de lire vos ressentis...
    Bisous d'une petite Tortue