Bonjour les Taureaux,
Quel weekend! Ce fut énorme.. mythique.. même 'dantesque'..
Dur dur de résumer tout ça; entre le trajet samedi, l'installation au camping, la courte nuit, puis la lôôôngue aventure de dimanche, et enfin le retour lundi, pas évident de tout relater.. Heureusement que Luc a eu la gentillesse et le talent de s'en charger, il va vous raconter tout ça dans un beau compte-rendu (merciii à lui!).
Juste avant je me permets de planter le décor:
Une manade de pas moins de neuf Toros allait réjoindre le département de l'Ariège et plus précisément la commune de Lavelanet, pour y participer à la 10ème édition du Trail des Citadelles. Un énorme trail, renommé dans la région, et réputé pour ses grandioses paysages (avec des passages par deux châteaux Cathares), mais aussi pour sa... boue! Et tout ce qu'on peut dire c'est que l'évènement a tenu toutes ses promesses..
Nous étions 7 TAC-trailers et 2 TAC-supportrices pour l'aventure: Christophe & Luc sur le parcours du 40km; Agnès, Bérengère, Seb' G., Jean-Marie et Steph' pour celui de 70; et Marisol et Fred' pour le soutien, sans faille, tout cette folle journée du dimanche 1er avril (merci à elles!). Pour Luc, Agnès et Bérengère ça allait être un sacré défi: ils découvraient de telles distances et espéraient aller au bout..
A noter que le départ du 70 était à 6h du mat' (oui, dur dur le réveil, surtout après une courte nuit en mobil-home) et celui du 40 à 8h. Luc et Christophe allaient emprunter les 40 derniers kms de notre parcours, en passant donc pareillement par les grandioses châteaux de Montségur et de Roquefixade, et en finissant, par un terrible dernier mur avant de descendre à pic sur Lavelanet. Sa description du parcours nous parlera donc à tous.
A toi la parole et le clavier Lucho':
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Le trail des Citadelles
Vu par un trailer novice de 48 ans, tout de même… et bourré d’anecdotes..
Ne me demandez pas comment j’ai atterri dans cette aventure, mon cerveau refuse catégoriquement de s’en souvenir. Je dirai peut-être au cours d’un entraînement où je devais manquer d’oxygénation, puis quelques semaines plus tard, j’ai dû dire 'oui, ok' sans trop réfléchir.
Me voilà donc un samedi matin 30 mars au jeu de boules de Charleval à patienter avec ma petite valise soigneusement préparée la veille, à l’image d’un écolier appliqué le jour de la rentrée.
Le petit fourgon Ford (oui c’est écrit sur les vitres) prêté par la mairie (un grand merci, même si ce sont mes impôts) arrive à l’heure avec notre conductrice conseillère municipale au volant.
Spacieux, ils nous accueillent tous avec nos bagages (il faut dire que normalement il est dédié aux personnes à mobilité réduites, dites 'PMR' dans le jargon.. nous reviendront sur notre handicap plus tard..).
Nous partîmes donc à 7 direction l’autoroute vers le pays Ariégeois. Mais le matin même une nouvelle grave mais sans conséquence est parvenue au coach (que j’appelle encore 'Coach' à cet instant, mais vous lirez plus tard que son diminutif va changer..): Fred' et Steph' le blond ont eu un accident de voiture à Carcassonne, il est donc nécessaire de les recueillir..
Ce voyage nous permet de discuter entre nous de tout et de rien. J’ai appris à mieux connaitre certains, nous échangeons sur notre quotidien. Nous parlons de la région de la Galice de Marisol, la 'Bretagne espagnole' et Seb' nous raconte que le chemin de Compostelle n’est pas l’ultime terme de ce fameux chemin, mais que ce dernier se termine un peu après où les pèlerins, selon la tradition, doivent brûler leurs vêtements. Je découvre également que Seb' est un grand chanteur de variété. Je tairais les commentaires de Marisol sur la fameuse mémoire de Sébastien. Je discute également avec Jean-Marie, le big boss technique d’une hôtel 5 étoiles. La discussion porte peu sur le sport, même si parfois la course revient dans les conversations..
Les kilomètres passent rapidement. Nous voici à Carcassonne, où nous récupérons Fred' & Steph'. Contents de les voir en pleine forme, le choc réside finalement dans la bagagerie du couple.. Ils partaient pour combien de temps..? Là le fourgon est vraiment au TACquet. Evidemment, nous prenons de leurs nouvelles et ils nous racontent leur mésaventure qui aurait pu avoir de graves conséquences. Fort heureusement, il n’en est rien, mais Fred' est encore un peu sous le coup.
Mais maintenant se pose la question de comment Fred' & Marisol vont pouvoir suivre les coureurs sans voiture? Vous verrez que ces 2 drôles de dames savent y faire..
Le temps est à la pluie, plus nous approchons, plus les terrains sont gorgés d’eau. J’avoue que je rigole pas trop. Je déteste les terrains gras.
Nous nous arrêtons faire le plein de victuailles pour le soir (:des pâtes) et pour la récup' d’après-course, essentielle sur ces distances (: ..des binouzes quoi). Nous faisons un pit-stop au camping pour vider nos affaires et prendre possession de nos mobil-homes et nous voilà partis vers Lavelanet, ville départ, pour récupérer nos dossards.
Nous y voilà.. l’odeur de la course commence doucement à se distiller dans la ville. Nous arrivons dans une grande salle, l’organisation est au top, nous récupérons notre dossard, la puce est testée. Voilà, je ne peux plus reculer.. Je ne ressens pas d’ondes négatives, j’ai le 40km dans la tête il ne me fait pas peur. Ma seule interrogation est le terrain avec cette pluie qui ne cesse pas. Marisol me rassure, demain il fait grand beau. C’est un vrai point positif.
Nos charges administratives réalisées, nous repartons vers le camping. Les bungalows sont frigorifiés, vite les chauffages à fond pour faire remonter un peu la température. Nous démarrons la chauffe de l’eau des pâtes. Le bungalow dans lequel se déroule la cène (:Judas et 3 apôtres sont absents) disjonctent régulièrement. Le repas pris, personne ne tarde. Les consignes sont données, tout le monde est dans la course.
Moi, je partage une chambre avec Jean-Marie. Chacun dans notre duvet, il m’a prévenu: il remue énormément la nuit. A 1h30, il bouge tellement qu’il renverse la table de nuit qui nous sépare. Mes lunettes volent et cela me réveille. Une angoisse m’envahi, et s’il marchait dessus en se levant..? Je tâtonne dans la nuit pour les mettre de coté. Je n’arrive plus à me rendormir correctement.
Réveil 4h20.
Bizarrement, je ne sens pas de fatigue. Je me sens même bien. Comme tous, j’enfile mes vêtements de course puis petit déj' sport. On est tous dedans, stratégie, sensations, mais finalement personne ne connait la course. Pour tous, cela sera au feeling. Derniers délestages gastriques pour certains et c’est parti.
Départ 5h20
Avec un seul véhicule, nous partons tous, même Marisol et Fred', pour le départ du 70km qui a lieu à 6h00. Pour le coach et moi-même, cela sera pour 8h00.
6h00: départ du 70km.
Finalement, il ne fait pas trop froid. Nous assistons au départ de nos TAC et nous revenons au chaud et tentons de trouver une solution pour nos 2 accompagnatrices. Au coin, d’une conversation, j’entends qu’une bénévole doit se rendre sur le premier ravito. Fred négocie le voyage avec elle. Leur aventure démarre également avec soulagement. De toute façon, elles sont prêtes à presque tout pour arriver à leur fin (Marisol réquisitionne une voiture ou Fred bouffe un conducteur..).
Avec Christophe, nous attendons sagement notre ordre de départ. Dehors, le froid est tombé avec le levé du jour, nous sommes frigorifiés en allant au véhicule déposer nos vêtements non utiles pour la course.
8h00: départ du 40km.
J’ai déjà perdu Christophe dans la foule du départ. Conscient de mes moyens, je me place au milieu du peloton. Le départ est donné et je me remémore les conseils du coach: "Tu dois courir avec la sensation de pouvoir en avoir encore sous le pied". Je pars donc prudemment en suivant le gros du peloton. Après une courte distance sur l’enrobé, nous voilà engagés dans un sentier. Quelques flaques éparses jalonnent le parcours, je les saute avec allégresse. Premiers bouchons dans une petite montée, je double quelques concurrents. J’ai de bonnes sensations. Je n’ai pas froid et le ciel se dégage rapidement. Par contre, les flaques se transforment vite en grandes marres, ca commence..!
Au cours d’une des premières descentes, le terrain est glissant. Je me rattrape à un câble de champ, et pousse un cri, je n’avais pas vu qu’il était en barbelé, mais rien de grave.
Première grosse montée, cela se décante vite. Je monte à un bon rythme malgré la boue qui est maintenant partout. Finalement, les montées sont plus faciles pour moi que les descentes. J’arrive vite dans la montée du Château de Montségur. Dans la montée, j’entends un "Allez Luc!", je reconnais la voix de Christophe, qui est déjà dans la descente. La montée n’est pas particulièrement dure à cet instant de la course (elle le sera pour les 70km, car ils la feront après 30 kms de course), mais elle est lente en raison du fait que sur un petit single se croisent les tailers, des différentes distances même (il y avait un 53 et un 24 aussi).
Arrivés au sommet, le badge est bipé et nous avons le privilège de traverser le château. La vue est magnifique et nous avons les pieds dans la neige. La descente se fait à un faux rythme en raison du nombre de trailers sur ce petit single et du risque de chute en raison de la fine pellicule de neige.
Descente faite, je repars vers le premier ravito situé au 15ème km à Montferrier. Je me sens bien. Je m’arrête juste le temps de faire le plein d’une flasque. Je repars plein d’entrain. Les deux petits 'raidars' qui suivent ne me laissent pas de souvenirs de souffrance. Par contre, la boue et l’eau sont omniprésentes. Pas une montée ou une descente correcte. Là, je sens que la présence de bâtons auraient été un plus. Les trailers qui me doublent font plus du ski que de la descente. En appui sur leur baton pour conserver leur équilibre, ils me doublent sans que je puisse rivaliser. De plus, je commence à sentir que je laisse des forces à garder mon équilibre.
Au 17ème km, je double un petit groupe et me prends une belle gamelle. Le choc résonne dans le tibia. Mais je me relève et poursuis ma course. Cependant, j’ai maintenant peur de la blessure grave. Je redouble donc d’attention.
Arrive maintenant la montée vers Roquefixade, le 2nd château. Le temps est maintenant ensoleillé et la chaleur douce me réconforte. La montée est raide mais je sens encore de la puissance. Je monte en marchant mais je me surprends à double et à distancer des trailers avec qui je partage maintenant plusieurs kilomètres. Arrivé au sommet, la vue est des plus belles. Les Pyrénées enneigés au loin m’invitent à m’arrêter et à apprécier l’instant présent. Je prends quelles photos et plagie Seb' en prenant mes chaussures boueuses.. voir ma page Facebook [ou la photo 46]. Maintenant 6 kilomètres de descentes.
Sauf que les descentes sont pleines de boue.
Petit aparté sur la boue:
Après 40km d’observation, il faut dire 'LES boues'. En effet, il y a différentes boues. D'abord la nature mécanique de la boue: depuis la liquide, jusqu'à presque solide; sur notre parcours, elle étaient souvent très plastique. Puis sa couleur, claire elle peut être très brunâtre. Et enfin l’odeur.. après analyse je suis certain qu’il n’y a pas que de l’eau..
Je referme mon aparté.
Donc 6 kms de descente, pourrie sans possibilité d’envoyer malgré la dépense physique nécessaire pour rester debout. Vers le 23ème km, j’ai commencé à ressentir de la fatigue. Sachant le 2ème ravito pas trop loin, j’ai géré mon effort.
Km28: ravito. J’ai pris un peu plus mon temps. Je commençais à savourer intérieurement. Je savais que j’allais le faire. Il me restait 12 kms, une petit sortie du samedi matin, tranquille.
Après m’être soigneusement alimenté, je suis reparti ragaillardi. Le terrain était un peu mieux avec des chemins toujours gorgés d’eau mais avec des petits tronçons qui permettaient de courir. A ce moment de la course, les trailers étaient éloignés les uns des autres. Je discutais avec les rares que j’arrivais à accompagner. A l’approche de la dernière difficulté, que je croyais, mon compagnon d’infortune m’indiquait qu’il y en avait en fait encore deux. Une petite et la dernière, bête noire et machine à broyer du trailer. Gloups! il venait de me mettre une belle droite au moral..
J’attaquais donc l’avant-dernière difficulté. Mes forces commençant à baisser, je la montais tranquille au train. Les terrains étaient un tout petit peu moins glissants. Maintenant, la moindre petite bosse tirait dur sur mes jambes. Après un dernier gros effort, un bénévole m’indiquait encore 200m d’ascension. Effectivement, je regardais la montre: 35km et 1680m de dénivelé positif. Yes, je touchais au but. L’euphorie était de courte durée. Les premiers mètres m’indiquait que mon calvaire ne faisant que commencer. J’essayais de suivre un groupe mais je décrochais. Mes pas étaient lourds. Je me refusais de regarder la montre. Mes indicateurs étaient les morceaux de rubalise. C’étaient mes objectifs. J’encourageais mes naufragés à l’arrêt. Ceux-là même qui m’avaient dit de m’accrocher 50m avant. On se soutenait mentalement. Qu’elle fut éprouvante cette dernière ascension, et enfin apparu la ligne de crête. Le plan n’indiquait pas une si longue distance. La fatigue me pesant, je râlais sur ce sol désormais coupant, avec des arêtes de roches où la pose des pieds était très aléatoire. Je m’accrochais à tous les trailers qui passaient. J’étais en mode warrior, et je me surprenais à courir alors que la tête disait d’arrêter. A l’approche de l’arrivée, les haut-parleurs puis la clameur de la foule transcende tout sportif, petit ou grand. Dans la dernière descente, une femme me doubla à une allure de dingue: c’était Sandra Martin, vainqueur femme du 70km. Je fis la dernière descente en glissade en me tenant à la corde et savourait les 100 derniers mètres sur (enfin) un sol dur. Mon temps était anecdotique (:6h35 soit 258e sur 454 hommes), mais j'étais heureux et fier d’avoir réussi mon challenge.
A l’arrivée, ma surprise fut de voir Jean-Marie qui m’indiqua avoir abandonné après avoir été pris de vomissements (il est vrai après 3 gobelets de soupe au 2ème ravito, quelle idée..!!). Bien sûr, Le Coach-Président était arrivé (et déjà douché).
La suite se passa joyeusement avec des acclamations nourris pour les TAC qui arrivaient assez rapidement (Steph', puis Seb' et Agnès dans sa foulée, et enfin Bérengère à quelques minutes derrière). Beaucoup de bonheur se lisait sur nos visages, heureux d’avoir accomplis un petit exploit personnel.
Avec fierté, nous sommes tous aller récupérer nos maillots de finishers, assister à la remise des podiums d’Agnès (1ère de sa catégorie). Christophe, ayant également fait 1er de sa cat', avait fait son podium avant l’arrivée des trailers du 70km. Nous sommes tous rentrés heureux et fatigués manger quelques pizzas et faire une grosse recup' active liquide..
Pour finir, je ne peux m’empêcher de raconter une anecdote: il se trouve qu’Agnès affuble Christophe de plein de petits noms doux d’animaux. Et un certain 'canard' nous a marqué. Voilà donc comment j’ai surnommé le Coach-Président "El Canardo" - en version hispanique "El Pato"-.
Voilà, c’était long mais pas autant que ma course..
Luc
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..et ben voilà, que dire/écrire d'autre..? Les photos (plus de 90.. Et encore, y'en avait des centaines..) vous montreront tout ça explicitement. Je finirai simplement par un gros bravo à tous les 'TAC-Citalliers', supporters ou trailers, finishers ou pas, 40bornards ou 70bornards. C'était une belle aventure partagée en manade, dans une ambiance TAC'esque.
Sur la route de retour, le lendemain, à une station-service, on tombe sur la Une du quotidien local: "Trail des Citadelles, une édition dantesque".. Oui, le mot n'est pas trop fort. Félicitations à toutes et tous, place à de nouveaux périples et de nouveaux défis.. (..y'a pas un petit 80-90bornes bientôt..?).
Bises (sans boue),
Steph'
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Bruno (mercredi, 04 avril 2018 17:25)
Félicitations à tous pour ces exploits et merci Luc pour ce super récap
Amélie (mercredi, 04 avril 2018 18:12)
Je suis admirative, vraiment un grand BRAVO pour tous ces exploits, Agnès et Bérangère je reste sans voix de voir le chrono de votre 70kms.. RESPECT!! Vous n'avez rien lâché apparement! Vous n'avez même pas l'air fatiguées sur les photos! Hallucinant!
Steph, comment s'est possible après un marathon si proche, c'est pas humain..
Seb la force tranquille!! bravo!
Christophe égal à lui même avec podium à la clef, chapeau!
J'espère que Jean Marie tu vas vite te remettre de ce mauvais passage?
Et bravo à toi Luc pour cette première expérience de long trail, on voit que cela n'a pas été toujours simple mais tu as assuré! Merci pour cette chouette récap!
Bravo à vos 2 supportrices au top!
Bises
Geneviève (mercredi, 04 avril 2018 20:07)
Bravo Luc, Superbe compte rendu! pour de Super TAC's, c'est fantastique , admiratif ! Profitez de votre jeunesse de votre énergie ce ne sera que de bons souvenirs. Je suis admirative devant tant de performances. Mais de quoi vous nourrissez-vous?
Bravo à toutes et tous.
jerome (mercredi, 04 avril 2018 20:53)
Bravo à Tous car les conditions étaient pas top entre la boue et la neige!
Bravo aux rédacteurs on souffre avec vous !
Thomas (mercredi, 04 avril 2018 20:58)
Magnifique recap et top performances, bravo à tous !!
Didier (mercredi, 04 avril 2018 22:21)
Oh putain Luc, t’es un poète! ;))
Superbe récap...et que de perfs.
Bravo aux Vachettes et Taureaux qui avez porté fièrement les couleurs du club du côté de Tacarcassonne.
Mag (jeudi, 05 avril 2018 07:06)
Excellent le récap bravo à vous tous
Seb g. (jeudi, 05 avril 2018 09:54)
Ah Lucho !
Tu m'as régalé en lisant ce recap, quel talent de rédaction.
Tout y est. Il n y a rien à rajouter.
C'était vraiment un dimanche (et aussi samedi et lundi) extra, avec ce soleil, cette boue, le sourire de nous 2 supportrices, la bonne humeur des tacettes malgré plus de 11h d'effort, les bières, ces paysages, ces châteaux...
Ci dessous un lien avec une courte vidéo qui montre la boue qu'il a fallu maîtriser durant cette course.
Seb g.
https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://m.youtube.com/watch%3Fv%3D-RtSACbErgI&ved=0ahUKEwiJxYOI06LaAhWGvxQKHcCwCGkQo7QBCCowAw&usg=AOvVaw2i4FLzLHYQ97ioulAZKCEk
Erwan (jeudi, 05 avril 2018 11:54)
Un vrai roman. Bravo à tous pour cette belle sortie
Laëtitia (jeudi, 05 avril 2018 20:10)
Tac d or du recap pour Luc.. on s y croirait et on a envie d y être.. pour partager ces grands moments de vie sportive.. parce que pour les kilomètres c est une autre histoire.. bravo à toutes et tous pour ces beaux exploits..
Daniel (vendredi, 06 avril 2018 00:48)
Ben voila une belle expériences personnelle mais aussi collective..
Sans le groupe d'entrainement et les encouragementd respectifs ce ne serait pas pareil. Felicitations à toutes et à tous ..un grand bravo aux suportrices .Mention speciale pour Luc en mode rédacteur.photographe.
Fred (lundi, 09 avril 2018 22:52)
Super week end! j'ai adoré vous voir vous dépasser et partager ça avec Marisol aussi!plein de bisous d'une Tortue envieuse mais heureuse de vous supporter.
BRAVO A TOUS!
ps: Luc il déchire ton recap'